Pour une fois je ne peux suivre dans son raisonnement notre Belge favori dans sa description un peu apocalyptique du SAV Alpine depuis quasiment le départ. Il est vrai sans doute que les Parisiens et Franciliens ont eu la chance de la proximité avec le
Centre Alpine d'Epinay, puis surtout le
Centre de la rue Thiers à Boulogne, ce dernier fournissant à la clientèle deux magasiniers dont le légendaire
Dominique Houard. En 1995 à la fermeture du Centre de la rue Thiers, Dominique a été transféré au magasin central de la filiale Renault Boulogne, rue Nationale, où il siégait à droit en entrant parmi une demi douzaine d'autres magasiniers.
Quand un non initié se pointait devant le premier mago disponible la réponse fusait "pour Alpine c'est au bout du comptoir, faut voir Dominique !
Désormais Dominique a pris sa retraite, c'est mission impossible d'avoir seulement un renseignement à la grande filiale.
En son temps j'ai relaté comment j'avais été éconduit dans la même filiale pour un remplacement de parebrise sur mon A 610 sous deux prétextes fort fallacieux :
1) plus de pièces Alpine, faux car j'avais pris la précaution de consulter justement Dominique à l'étage en dessous ;
3) plus de mécano Alpine, faux car il s'agissait de pratiquer comme sur une Renault moderne avec parebrise collé.
Mon insistance lourde et appuyé m'avait amené dans le bureau d'un directeur costume-cravate qui m'a courtoisement et élégamment éconduit après m'avoir fait un cours sur l'ardente nécessité de la rentabilité des produits ...et finalement le parebrise avait été remplacé par le service carrosserie d'une agent ....Peugeot.
Et vous voudriez que ces gens là nous vantent l'ADN de la nouvelle Alpine !!! Comme
Coluche, je me marre !
Pour les remarques de
Manfred et
André de L. à savoir que les Alpine se sont arrêtées après l'A 310 4 cyl. j'objecte, j'éructe, j'aurais tendance à sortir ma plume sergent major trempée dans de l'acide, afin de vous clouer au pilori épistolairement parlant.
Vous avez de la chance, je vous aime bien et l'hiver rude condamne l'homme blanc à aller faire de la bûche, encore une activité délictueuse de plus !
P7R, VKKR de fait, vogue désormais ailleurs, quelque part où dérision, humour, et liberté d'expression fleurissent dans la rosée du matin. Une longue virée en
Alpine quand le son des Weber fait oublier les chicailleries et autres mesquineries du quotidien.
Partir n'est point mourir, c'est juste revivre et retrouver modestie car tout a été déjà écrit : "
Sans la liberté de blâmer, point d'éloges flatteurs".
PS : pour ceux qui cherchent ma tente elle est ici :
viewtopic.php?f=63&t=35959
On y parle en particulier avec
Corto Maltese :
Quand les Vénitiens - parfois ce sont les Maltais - sont fatigués des autorités, ils vont dans ces lieux secrets et, ouvrant les portes au fond de ces cours, ils s'en vont pour toujours vers des pays merveilleux et vers d'autres histoires...”